Bon jour my friends!
I am in desperate need for help to translate a term from the accounting lingo: "alternate cost" related to cost centers (beware that it´s not the same as alternative costs in economics).
Bon jour my friends!
I am in desperate need for help to translate a term from the accounting lingo: "alternate cost" related to cost centers (beware that it´s not the same as alternative costs in economics).
Companies may choose to classify business units as cost centres, profit centres, or investment centres. There are some significant advantages to classifying simple, straightforward divisions as cost centres, since cost is easy to measure.
Because the cost centre has a negative impact on profit (at least on the surface) it is a likely target for rollbacks and layoffs when budgets are cut. Operational decisions in a contact centre, for example, are typically driven by cost considerations. Financial investments in new equipment, technology and staff are often difficult to justify to management because indirect profitability is hard to translate to bottom-line figures.
A profit center manager is held accountable for both revenues, and costs (expenses), and therefore, profits. What this means in terms of managerial responsibilities is that the manager has to drive the sales revenue generating activities which leads to cash inflows and at the same time control the cost (cash outflows) causing activities. This makes the profit center management more challenging than cost centre management. Profit center management is equivalent to running an independent business because a profit center business unit or department is treated as a distinct entity enabling revenues and expenses to be determined and its profitability to be measured.
An investment center is a classification used for business units within an enterprise. The essential element of an investment center is that it is treated as a unit which is measured against its use of capital, as opposed to a cost or profit center, which are measured against raw costs or profits.
Centre de coûts
C'est un niveau d'analyse des charges de l'établissement.
un centre de coûts correspond à une entité structurelle de l'établissement ou une activité.
Un centre de coûts est un collecteur de coûts: il enregistre les charges primaires de type charges directes constatées et éventuellemnt les charges indirectes collectées par d'autres centres de coûts.
Un centre de coûts est obligatoirement rattaché à un centre de profit.
Définition Coûts
Ensembles d’éléments de charges pour une marchandise, un bien, une prestation de service ne correspondants pas au stade finale d’élaboration du produit vendu.
Les différents coûts d’un produit sont constitués par un ensemble de charges supportées par l’entreprise en raison de leur exploitation.
Le coût d'opportunité (ou coût d'option) mesure la perte des biens auxquels on renonce en affectant les ressources disponibles à un usage donné. C'est le coût d'une chose estimé en termes d'opportunités non-réalisées, ou encore la valeur de la meilleure autre option non-réalisée.
En matière de gestion, le coût d'opportunité d'un investissement est le coût de la non-réalisation d'un investissement. Il est mesuré par la rentabilité attendue des fonds investis (ou de l'affectation d'immobilisations à d'autres utilisations, comme par exemple, la location d'un terrain disponible). Ce critère est l'un de ceux utilisés dans les choix d'investissement. En principe, le rendement doit être au minimum égal au coût d'opportunité.
L'application du concept de coût d'opportunité conduit à la recherche des coûts cachés de toute décision économique. La négligence de ce concept conduit à des sophismes économiques courants tels que celui de la « vitre brisée » décrit par Frédéric Bastiat.
Le sophisme de la vitre cassée a été énoncé par l'économiste Frédéric Bastiat dans son essai : Ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas[1] publié en 1850, afin d'illustrer la notion de coût d'opportunité, en particulier l'importance des coûts cachés de toute décision économique.
La vitre cassée est le titre du chapitre I de Ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas. Bastiat part d'une histoire, celle du fils de « Jacques Bonhomme » qui casse un carreau de vitre, et de la réaction des badauds : « À quelque chose malheur est bon. De tels accidents font aller l'industrie. Il faut que tout le monde vive. Que deviendraient les vitriers, si l'on ne cassait jamais de vitre ? »
Bastiat reconnaît que le coût de réparation de la vitre (six francs de l'époque) bénéficie bien directement à l'industrie vitrière (« ce qui se voit »), mais il s'oppose à la conclusion qu'il en résulte un bénéfice pour l'industrie tout entière, car cela néglige les autres usages qui auraient pu être faits de ces six francs (« ce qui ne se voit pas »).Par exemple, si la vitre n'avait pas été brisée, Jacques Bonhomme aurait pu consacrer le même argent à l'achat d'une paire de chaussures, et « aurait eu tout à la fois la jouissance d'une paire de souliers et celle d'une vitre. »
Il en conclut que « la société perd la valeur des objets inutilement détruits », ce qu'il résume par : « destruction n'est pas profit. »
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